Ils aiment Paris, ses lignes nettes, ses cafés à toute heure, son élégance sans insistance.
Mais leur cœur est ailleurs —
vers la mer bleue, les villes brûlantes, les murs blanchis par le sel.

Ils partagent un regard.
Un goût pour le détail, la lumière qui glisse sur une épaule,
les silences habités, les gestes simples.

Ils sont les enfants de la rive.
Une communauté discrète, attachée à ce qui dure.
À ce qui ne s’explique pas mais se (res)sent.

Plus qu’une marque,
un souffle.
Un été perpétuel.